lundi 26 août 2013

"A Cadet Coquelin, cette balade en Bibliopolis, pour sa bouquinière, en affectueuse camaraderie : Octave Uzanne". (1897)



"A Cadet Coquelin,
cette balade en Bibliopolis, pour sa bouqui-
nière, en affectueuse camaraderie : Octave
Uzanne".

Catalogue de la bibliothèque publique communale de Boulogne-sur-mer,
Fonds Coquelin Cadet (1911)

Envoi autographe d'Octave Uzanne à Coquelin Cadet sur Les évolutions du bouquine. La nouvelle Bibliopolis. Voyage d'un novateur au pays des néo-icono-bibliomanes, par Octave Uzanne. Lithographies en couleurs et marges décoratives de H. P. Dillon. Frontispice à l'eau-forte d'après Félicien Rops. Paris, H. Floury, 1897.

Cet envoi nous a été aimablement communiqué par Julien Mannoni de la librairie Des Livres Autour.

Nous ne savons rien de plus, pour le moment, de cette "camaraderie" entre Octave Uzanne et Coquelin Cadet.

Coquelin Cadet (1848-1909)
Photographie vers 1880
Alexandre Honoré Ernest Coquelin (16 mai 1848 à Boulogne-sur-Mer - 8 février 1909 à Suresnes), dit Coquelin cadet pour le distinguer de son frère Constant, dit Coquelin aîné, est un acteur et un écrivain français. En 1867, après avoir reçu le premier prix de comédie au Conservatoire, il débute à l'Odéon, puis entre à la Comédie-Française. En 1875, il en démissionne pour passer au Théâtre des Variétés, où il joue dans divers vaudevilles tels que Un chapeau de paille d'Italie de Labiche. En 1876, il revient à la Comédie-Française, dont il devient sociétaire en 1879. Il s'y est en particulier illustré dans des rôles de pièces de Molière. Spécialisé dans le monologue, qu'il découvre en écoutant Charles Cros lire son poème Le Hareng saur, et sur lequel il a écrit deux livres, Le Monologue moderne (1881) et L'Art de dire le monologue (1884), il a porté de nombreux monologues sur la scène, parmi lesquels ceux de Feydeau : Le Potache et Patte en l’air, Les Réformes, Tout à Brown-Séquard, Un Monsieur qui est condamné à mort et Un Monsieur qui n'aime pas les monologues. En 1908, il doit être interné dans une maison de santé à Suresnes, où il meurt peu de temps après. (source Wikipédia, en ligne, consulté le 26 août 2013).

Bertrand Hugonnard-Roche

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