Index des articles publiés par Octave Uzanne dans l'Echo de Paris entre 1901 et 1911 (Source Gallica) - Mise à jour permanente

ECHO DE PARIS (*)

* * * Articles après 1900 * * *

(ajout du 12 avril 2013)

1901

Jeudi 24 janvier 1901 - La bonne Victoria

Jeudi 14 février 1901 - S. M. Edouard VII

Jeudi 28 février 1901 - Visions de Notre Heure Choses et Gens qui passent (Les arts nouveaux - Le Modern style - Les meubles physiologiques)

Jeudi 14 mars 1901 - Visions de Notre Heure Choses et Gens qui passent (Shakespeare mis en scène et interprété "at home"

Jeudi 9 mai 1901 - La Cuisine Française

Jeudi 23 mai 1901 - La Nouvelle Locomotion Parisienne

Jeudi 18 juillet 1901 - La Réputation Française d'après nos romans d'éternel féminin

Jeudi 3 octobre 1901 - Le Service des Postes (Les réformes urgentes)

Jeudi 17 octobre 1901 - Les Réformes postales (les mandats-poste - les lettres chargées et recommandées)

Jeudi 31 octobre 1901 - Indigence des Postes

Jeudi 14 novembre 1901 - Le Théâtre clinique

Jeudi 28 novembre 1901 - Le Canal de Nicaragua et son véritable promoteur dès 1846 (Le Prince Louis-Napoléon Bonaparte)

Jeudi 12 décembre 1901 - Les jolies enseignes de Paris

Jeudi 26 décembre 1901 - Le journalisme futur (téléphonique et phonographique)

1902

Jeudi 9 janvier 1902 - La vie à perpète

Jeudi 23 janvier 1902 - Le futur Musée Victor-Hugo

Jeudi 13 février 1902 - Pour la protection des oies

Jeudi 20 février 1902 - Propos d'Exil (le journal d'Adèle Hugo)

Jeudi 20 mars 1902 - Le Musée Bonnat à Bayonne

Jeudi 3 avril 1902 - Cecil Rhodes (un créateur d'affaires)

Jeudi 24 avril 1902 - Dégoût et servitudes d'un parlementaire

Jeudi 8 mai 1902 - M. Léopold Delisle (une gloire française)

Jeudi 19 juin 1902 - Celui de la Reine Victoria (Couronnements)

Jeudi 10 juillet 1902 - L'Exposition de Dusseldorf

Jeudi 24 juillet 1902 - Hotels modernes (propos de vacances)

Jeudi 7 août 1902 - La Femme, le Costume et l'Hygiène (propos de vacances)

Jeudi 21 août 1902 - Le legs Dutuit et le Petit Palais (propos de vacances)

Jeudi 4 septembre 1902 - Les droits de la femme (propos de vacances)

Jeudi 18 septembre 1902 - Théâtres, Auteurs et Critiques (propos de vacances)

Jeudi 20 novembre 1902 - Le cloaque pornographique (nos moeurs en façade)

Jeudi 11 décembre 1902 - Le dégoût public (les attentats par l'image)

Jeudi 25 décembre 1902 - Défendons-nous ! (les outrages par l'image)

1903

Jeudi 22 janvier 1903 - Vive le vin ! (les modes en médecine)

Jeudi 5 février 1903 - Maîtres et Domestiques (nos officieux)

Jeudi 5 mars 1903 - L'Oliganthropie (la natalité française)

Jeudi 19 mars 1903 - M. Pierport Morgan (figures d'outre-mer)

Jeudi 2 avril 1903 - Th. Roosevelt (figures d'outre-mer)

Jeudi 14 mai 1903 - Le Sultan du Maroc (figures de mystérieux Orient)

Jeudi 28 mai 1903 - La Société de Londres (à propos du Derby d'Epsom)

Jeudi 11 juin 1903 - Rayons rouges, Rayons bleus, Rayons mauves (la chirurgie de la lumière)

Jeudi 9 juillet 1903 - L'Anglaise du jour (la voisine et amie old england)

Jeudi 13 août 1903 - Ecoles de domestiques (essais sur la vie pratique)

Jeudi 20 août 1903 - L'artiste futur (la mécano-statuaire et la photo-peinture)

Jeudi 3 septembre 1903 - La natation (les sports utiles et nécessaires)

Jeudi 1er octobre 1903 - Les petits soldats de la grande guerre (images françaises en Alsace)

Jeudi 29 octobre 1903 - Le Chantre des frissons, de la Peur, des Spasmes et de la Mort (Maurice Rollinat)

Jeudi 26 novembre 1903 - Inventions méconnues (au pays des brevets)

Jeudi 10 décembre 1903 - L'Art et l'Auto

1904

Jeudi 7 janvier 1904 - La fête à Saint-Louis (invitation au voyage)

Jeudi 21 avril 1904 - Les logements à bon marché (Paris qui se transforme)

Jeudi 12 mai 1904 - La traversée de la Manche en bac (de Paris à Londres en wagon)

Jeudi 26 mai 1904 - L'auto pour tous (des vacances en vitesse)

Jeudi 23 juin 1904 - La vie à l'air (plaisirs et hygiène d'été)

Jeudi 7 juillet 1904 - Le divin Empereur du Japon (figures d'Extrême-Orient)

Jeudi 21 juillet 1904 - Le bien-être en wagon (voyages en vacances)

Jeudi 4 août 1904 - Baden-Baden et Strasbourg (visions de pays naguère français)

Jeudi 1er septembre 1904 - L'abusive stérilisation (modes scientifiques et médicales)

Jeudi 15 septembre 1904 - L'inanité d'être jeune

Jeudi 29 septembre 1904 - Les congrès (délégations confraternelles et internationales)

Jeudi 13 octobre 1904 - Ne plus blanchir (les témérités de la science)

Jeudi 29 décembre 1904 - Les Japonaises (figures d'Extrême-Orient)

1905

Jeudi 27 avril 1905 - Les Droits de la Main gauche (nos facultés originelles perdues)

Jeudi 6 juillet 1905 - Hebdomadaire repos

Jeudi 17 août 1905 - La côte soleillée d'Angleterre (chez nos amis d'outre-manche)

Jeudi 14 septembre 1905 - Fiacres homicides (la santé publique à Paris)

Jeudi 5 octobre 1905 - Heure d'automne (choses et gens qui passent)

Jeudi 19 octobre 1905 - Sir Henry Irving (choses et gens qui passent)

Jeudi 23 novembre 1905 - Paris se néglige (les humiliations de la statistique)

1906

Jeudi 8 février 1906 - L'hygiène de la rue (pour la salubrité parisienne)

1907

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1908

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1909

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1910

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1911

Mercredi 22 novembre 1911 - Splendeurs d'automne

1912

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(*) L'Écho de Paris était un quotidien français sous la Troisième République, publié entre 1884 et 1944, avec une orientation plutôt conservatrice et nationaliste. Ce journal littéraire et politique conservateur (du soir puis du matin), fut proche de la Ligue des patriotes de Paul Déroulède, puis plus tard du Parti social français à partir de 1936. Octave Mirbeau y a collaboré pendant plusieurs années et y a publié en feuilleton ses romans Sébastien Roch (1890), Le Journal d'une femme de chambre (1891) et Dans le ciel (1892-1893). Le radical Georges Clemenceau y rédigea quelques articles en 1897, juste avant de prendre part à l'Affaire Dreyfus. Après la catastrophe de Courrières (1906), la grève faisant tâche d'huile, L'Écho de Paris, affolé, titre « Vers la Révolution ». À la fin de la Première Guerre mondiale, à l'automne 1918, comme d'autres journaux de droite (Le Matin, L'Action française...), L'Echo de Paris fait preuve de jusqu'au-boutisme, préconisant de marcher sur Berlin pour y signer l'armistice. L'année suivante, il soutient cependant le président du Conseil Clemenceau lors de la conférence de paix, espérant mettre à genoux l'Allemagne pour de bon. Intitulé Écho de Paris jusqu'au 28 mars 1938, il prit le nom de Jour-Écho de Paris du fait de sa fusion avec le journal Le Jour dont le premier numéro datait du 4 octobre 1933. À partir du 12 juin 1940, le journal est publié en Zone Sud (Poitiers, Clermont-Ferrand, Marseille, puis, à nouveau Clermont-Ferrand), puis se saborde en 1942.